Il y a quelques coquilles dans le livre -désolé, j'aurais dû le faire "valider" (pffff...).
Pierre, un collègue lecteur du roman (qui l'a adoré, héhéhé), en a relevé une page 103... je me suis planté dans la numérotation des paragraphes ! Pourtant, me doutant que cela serait l'occasion de coquiller à mort, j'avais été attentif. Du moins, je le croyais. Bref, je fais un boulot de m... Pire qu'au boulot ou quoi ? Heureusement que je quitte prochainement l'administration !
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4 commentaires:
Alors voilà. Le gars Mizio, je le connais bien, nous avons partagé la même chambre un soir à Bordeaux, j'en frémis encore. J'ai tout lu de lui (il fait d'ailleurs de fort jolies listes de courses) et j'en ris encore. Buffet à volonté était un livre déprimant dans lequel l'auteur se laissait aller à un léger dégoût du monde de l'édition. D'un point de vue administratif est un livre roboratif, un vrai roman avec de vrais morceaux d'humour dedans pas mixés. Un plaisir que j'ose mettre à la hauteur du muscadet, ce blanc frais au goût de terre mouillée qui vous remémore le nom d'Aloïs, c'est vous dire.
Une lecture qui ouvre les gorges (j'ai pas dit profondes) et chatouille les zygomatiques. J'ai particulièrement apprécié, évidemment, l'affaire dit de la touillette, la nécessité de la copie à un tiers et du questionnement de l'administré sur le "comment qu'on faisait avant la poussée mailophile et j'ai touillé, comme tout le monde, dans l'affaire qui ne peut être ignorée par tout chronophage de l'information.
Je ne puis maintenant plus voir le monde autrement que sous forme de camembert, aussi, je vas conclure sur cet état statistique :
J'ai aimé ce livre à 25% pour l'absurdité du monde dans lequel nous vivons et dans lequel nous nous débattons avec crédulité, j'ai aimé ce livre à 50% pour les éclats de rire que j'ai proférés tout seul dans mon lit (c'est comme ça, je couche avec Mizio, c'est un habitude bordelaise), j'ai aimé ce livre à 24% pour son refus de suivre les Panurge, les July, les Le-La minsitre et affirmer, haut et quand personne n'entend que bon, ça suffit quand même cette société déshumanisée et j'ai aimé ce livre à 1% ce livre car il provient d'un auteur qui, un soir de festival, a passé son temps à convaincre un ami de créer un blog sous le cautleux prétexte que ce qu'il écrivait pouvait intéresser un autre humain que lui.
Lisez ce livre, c'est un ordre, que dis-je, un impératif !
De toute façon, ça tombe bien, vous n'aviez rien d'autre à faire ces temps-ci. L'affaire est retombée comme un soufflet. Le temps qu'elle regonfle, vous aurez du temps à perdre.
Autrement, si vous n'y voyiez pas d'intérêt, vosu avez raison, allumez votre télé (la télévicon disait Ferré), vous allez louper le passage de la flamme olympique.
Bises tibétaines (vous y comprenez quelque chose vous à cette chinoiserie ?).
François Braud
Ben zut, je n'ai remarqué ni la coquille ni la p'tite erreur (lundi/dimanche) évoquée il y a quelques jours...
Il faut croire que l'hilarité altère le sens de l'observation.
Je suis très bon public, il faut le dire...
Bonjour François (qui se connecte sous le nom de Ludovic Renaud !)
Hé ben merci pour cet enthousiasme, ça fait chaud au coeur. Ne rentre jamais dans l'administration (ah zut, t'es déjà prof... Vite, cours et ne te retourne pas !). Quant à publier tes textes sur un blog, je maintiens : zyva ! Faut que ça vive tes déconnades stylées... Je m'en occupe si tu veux. La bise.
Francis
Bonjour Lenaig !
Woooaw je retrouve une fidèle lectrice ! Merci pour le message et l'aveu d'hilarité. STP : ne dis jamais qu tu es "bon public", non non non : dis que tu es une lectrice exigeante, râleuse, difficile... mais que je suis drôle quand même. C'est que je soigne ma com' et mon image, moi... :-)
Heureux de t'avoir amusée.
Francis
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