Il est amusant de lire ou d'entendre les "inventaires " établis à partir du par chacun des lecteurs, soit de ce qu'ils ont retiré/retenu de leur lecture. Ce n'est rien de dire que chacun s'approprie un livre, que lorsque nous sommes lecteurs nous ne réagissons, ne retenons pas forcément ce qu'un autre aurait pour sa part relevé... et notre propre inventaire dénote indéniablement de nos propres préoccupations. Autant de lecteurs, autant de lectures... En cela, une critique argumentera (roman bon, roman mauvais, etc.) mais un inventaire, issu de la lecture, informe... sur le lecteur. Et ma foi, j'aime : cela traduit les moments de proximité, sinon de connivence, avec la personne qui m'a lu... c'est une des vertus, sinon des ambitions de l'humour auquel je m'essaie : on rit toujours avec ou contre, mais toujours ensemble à partir d'éléments communs. Voici donc l'inventaire de Mikael Cabon à partir du contenu du roman. On m'en a oralement donné d'autres : ils ne sont jamais identiques.
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